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Un robot contrôlé par la pensée : la fin du handicap ?

Noland Arbaugh, le premier patient de Neuralink, rêve de contrôler un robot humanoïde par la pensée, ouvrant la voie à une nouvelle ère d'autonomie pour les personnes en situation de handicap.

En 2016, Noland Arbaugh a été paralysé après un accident de natation. Aujourd'hui, il fait parler de lui comme le premier individu à avoir reçu un implant cérébral de Neuralink, la startup d'Elon Musk. Grâce à cet implant, il peut maintenant interagir avec des jeux vidéo et contrôler son ordinateur par la pensée.

Mais Arbaugh ne compte pas s'arrêter là. Dans une interview avec Wired, il a révélé son projet de commander un robot humanoïde Tesla Optimus via sa puce Neuralink. Il imagine ce robot comme une extension de son propre corps, capable de l'aider à marcher, saisir des objets, et effectuer de nombreuses tâches sans assistance humaine. Selon lui, cette technologie pourrait considérablement réduire sa dépendance envers autrui.

Cette vision pourrait représenter une avancée majeure pour les personnes handicapées. Actuellement, la puce Neuralink permet à Arbaugh de réaliser des tâches simples comme jouer de la musique ou allumer la télévision, en ne demandant qu'un faible effort mental.

Neuralink, cherchant à élargir ses essais cliniques, recrute de nouveaux volontaires pour tester cette technologie révolutionnaire. Malgré les défis rencontrés, Arbaugh reste optimiste et souhaite guider les futurs patients dans cette aventure.

Le projet d'Arbaugh démontre comment la technologie pourrait transformer la vie des personnes handicapées, offrant des solutions inédites pour améliorer leur autonomie et qualité de vie.

Que pensez-vous de cette innovation ? Est-ce que les personnes handicapées pourront bientôt utiliser des robots pour les assister au quotidien ? Partagez vos réflexions dans les commentaires.

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